Les données de santé et sociales interrogent l’intimité des personnes, et parmi elles les plus fragiles qu’il faut protéger. Par ailleurs, la statistique épidémiologique ou sociale revendique l’utilité de connaître pour agir.
Comment articuler ces deux dimensions ? Comment éviter l’écueil de la tentation de passer de la connaissance épidémiologique à la géolocalisation la plus fine possible des personnes ? De quelles informations auraient en finalité besoin les acteurs de terrain ?
Intervenants : Cnil, Drees, Insee, Carsat Nord-Picardie, Université Catholique de Lille, OR2S…
9h30 – 16h00 Salle Robert de Douai (Salle d’Anchin, rue Fortier), Douai